Poème sans musique encore

Sous les quintes lourdes et blondes,

D'élégiaques cordes profondes

Gonflées par le tyran séreux

Lèchent le ton de mille feux

Roulants et blêmes, funérailles

Épouvantées, lourdes sonnailles

Aux atroces grelots canailles

Qui tous ont l'éclat du vitrail.


Paroles

Comme on aurait voulu

que la litanie se jetât

sans une escale de lumière

dans une mère morte.

Les voyages à la bougie

Kiss et Bougie s'emmêlent les bijoux

C'est pas du tout comme ça qu'on fout

La grandiose anomalie des cités

Mais Bijounet s'en est allé chanter

Tout l'été en Syrie fait le kéké

Et nous revient sans burnout 

Prince dans son boubou