Kagi & Kagi
Poèmes sans poésie ni poètes
Les fjords sur leur trente-et-un
Comme il est joli, le vieil hérisson glabre !
Tout droit sorti de son palais de glaces,
Il escalade les anchois et se laisse glisser
Jusqu'au delta caché qui
Baille comme un écrivain.
Après le col
À cette hauteur, Dvorak ne
Peut que se taire à nouveau.
C'est bien fâcheux, disait la Comtesse,
C'est bien fâcheux, plus qu'un peu,
Et même si sa robe s'ouvrait
Comme par miracle,
On devinait un grand désert.
En quinconce
Mais que X. paraisse et tout
Au-delà est abîmé
En quinconce, comme si
Le jour ne s'était jamais
Levé sur les rizières.
Il faudrait tout de même
En donner des preuves,
Qu'on puisse en paix
Boire à sa santé.
Vers la retraite
On aperçoit Duspasme dans le cortège,
Il joue de la guimbarde, il est en slip léopard.
Sur son dos, Kagi harangue les manifestantes.
Faconde joue de la trompette, les joues creuses,
Le ventre ballonné. Mendelssohn ne dit pas un mot.
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